ROS-ALPHA-MILLER-1.jpgLa performance vocale de Corin Dingley et d’Andy Jenk, accompagnée des sonorités mélancoliques du trip-hop, a bouleversé le public de la scène de l’Industrie.

Imaginez-vous enlacé dans une étreinte sensuelle portée par une musique envoûtante. Cette sensation, nous pouvions la ressentir lors de ce set rondement mené. Après seulement une chanson, la chanteuse du groupe devient la muse de milliers de paires d’yeux, complètement écarquillés. Le sourire de chaque festivaliers monte jusqu’aux oreilles. La vague d’émotions envoyée au public est forte. Emmagasinée par la foule, elle explose à la fin de chaque titre dans une fureur touchant le groupe en plein cœur.

C’est alors qu’Andy Jenk arrive pour apporter un nouveau timbre au set. Cela permet au concert de rebondir et de lui apporter une intensité supplémentaire. Les vibratos d’Andy font chavirer la foule.

Les deux voix associées font mouches. En parallèle, le trip-hop lancinant des quatre musiciens du groupe est magnifique, concentré, appliqué. Ils ne sont pas extravagants mais dégagent une belle puissance. Le passage au piano de Corin restera gravé comme un moment magique.

Porté par ces mélodies, nous aurions tous aimé pouvoir nous endormir dès la fin du concert pour nous plonger dans des rêves aussi doux que ceux livrés par la musique d’Alpha.
 

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